23, 24 & 25 juin 2022 — Palais Beaumont
Les 23 & 24 juin 2022 à 20h (rencontre avant concert à 18h45)
Le 25 juin 2022 à 11h & 18h (rencontre avant concert à 10h & 17h)
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Baptiste Trotignon, Piano
Baptiste Trotignon, Piano
Fayçal Karoui, Direction
- BERNSTEIN : Divertimento
- GERSCHWIN : Rhapsody in blue
- BERNSTEIN :
- On the town
- West side story, symphonic dances
BERNSTEIN
Divertimento pour orchestre
“Divertimento for Orchestra” est une composition pour orchestre symphonique de Leonard Bernstein, qui a été commandée en 1980 pour le 100e anniversaire de l’Orchestre symphonique de Boston. Bernstein avait déjà fréquenté l’académie d’orchestre de Tanglewood et assisté le chef d’orchestre de l’époque, Sergei Kusewizki. La pièce rend hommage à l’orchestre et à la ville de Boston, où Bernstein a grandi.
L’œuvre se compose de huit mouvements extrêmement courts à travers lesquels se déroule la séquence de tons B-C, en anglais “B-C” pour Boston Centenary (centenary). Les mouvements individuels contiennent une variété de styles allant de la musique populaire américaine au répertoire symphonique de différentes époques et sont entrecoupés de nombreux solos individuels et de groupe. L’œuvre dure environ 15 minutes, la première mondiale a eu lieu le 25 septembre 1980 au Boston Symphony Hall sous la direction de Seiji Ozawa.
On the Town
On the Town est une comédie musicale en deux actes pour chœur et orchestre, créée à Broadway en 1944
On the Town est une histoire d’amour avec New York. De la culture intense et créatrice de la ville à son intelligence foisonnante et ses habitants parfois modestes, à l’aventure innocente de trois marins et des femmes qu’ils rencontrent, c’est, dans tous les sens et pour tous les sens, une « étreinte totale ».
West Side Story, symphonic dances
West Side Story est un drame lyrique américain de Leonard Bernstein, Stephen Sondheim (paroles) et Arthur Laurents (livret), basé sur une conception de Jerome Robbins, inspiré de la tragédie Roméo et Juliette de William Shakespeare et créé le 26 septembre 1957 au Winter Garden Théâtre de Broadway. La chorégraphie et la mise en scène étaient de Jerome Robbins, les décors d’Oliver Smith et les costumes d’Irene Sharaff. La noirceur du thème, la musique sophistiquée, l’importance des scènes de danse, l’accent mis sur les problèmes sociaux ont constitué un tournant dans le théâtre musical américain. La partition de Bernstein est devenue extrêmement populaire grâce à des airs comme Something’s coming, Maria, America, Somewhere, Tonight, Jet Song, I Feel Pretty, One Hand, One Heart, Gee, Officer Krupke et Cool.
Produit par Robert E. Griffith et Harold Prince, le spectacle tient l’affiche durant 732 représentations avant de partir en tournée. Nommé en 1957 pour le Tony Award de la meilleure comédie musicale (finalement accordé à The Music Man de Meredith Willson), il remporte le prix de la meilleure chorégraphie pour Robbins. La production londonienne connaît une durée de représentation encore plus importante et le spectacle fait l’objet de nombreuses reprises et bénéficie d’un succès international. Une adaptation cinématographique est réalisée par Robert Wise et Jerome Robbins en 1961.
GERSCHWIN, Rhapsody in blue
Rhapsody in Blue est une œuvre pour piano et orchestre ou harmonie composée par George Gershwin en 1924, qui combine des éléments de musique classique et de jazz.
L’œuvre a été orchestrée par Ferde Grofé à trois reprises, en 1924, 1926 et finalement en 1942. La première eut lieu lors d’un concert intitulé An Experiment in Modern Music le 12 février 1924 à l’Aeolian Hall de New York, interprétée par l’orchestre de Paul Whiteman, commanditaire de l’œuvre, avec George Gershwin au piano. Le Cambridge Music Handbook estime que « Rhapsody in Blue a établi la réputation de Gershwin comme compositeur de renom et est depuis devenue une des plus populaires œuvres orchestrales américaines ». Elle a également donné son nom à une rose.